And then suddenly everything was online!
Normally we are everywhere with the Technology and Computer Science Weeks, but then the pandemic came and suddenly everything was different. Project manager Myriam Hofmann tells us about the challenges she had to overcome in organising and running the virtual weeks.
First virtual Meitli Technology Day at ABB
On 8 June, the first virtual Meitli Technology Day or afternoon will take place at ABB. From 1 to 3 p.m., ABB, together with libs, will provide an insight into the technical apprenticeships that can be learned at ABB. The event is aimed at interested 1st and 2nd grade students from secondary I.
Our videos on engineering professions
On our Youtube channel you will find videos of engineers from our member companies giving an insight into their daily work.
IngCH supports WRO
The World Robot OlympiadTM(WRO®) is a robotics competition for technology-loving children and young people. IngCH is supporting the WRO again this year. Click here to register on the website worldrobotolympiad.ch.
Les nouveaux moteurs d'avion consomment 15 % moins de carburant
IngFlash a rencontré Dr. Dominique Vez, Vice President Strategy, Engineering & Technology, Engine Sensing Product Group de Meggitt pour une interview.
(gs) Les capteurs et unités électroniques développés par Meggitt en Suisse sont majoritairement utilisés sur des moteurs d’avion ainsi que sur des turbines au sol pour la génération de puissance. S’agit-il avant tout d’en surveiller le bon fonctionnement ou peut-on à l’aide de capteurs en augmenter l’efficacité et ainsi économiser du carburant ?
Il s’agit en fait des deux. Certains paramètres physiques sont mesurés par des capteurs et transmis à des unités électroniques de surveillance afin de détecter des dépassements de seuils critiques, synonyme d’une détérioration des performances du moteur d’avion ou de la turbine au sol. L’autre aspect est l’amélioration des performances environnementales. Par exemple, les tout nouveaux moteurs d’avion sont environ 15 % plus efficients que leurs prédécesseurs en termes de consommation de carburant et émissions de CO2, offrent jusqu’à 50 % de diminution des émissions de NOx et réduisent sensiblement les émissions sonores. Ceci est entre autres rendu possible grâce à certains capteurs permettant une optimisation de systèmes moteurs ayant bénéficié d’innovations majeures.
Quels types de capteurs sont typiquement utilisés et pour quelles applications ?
Le site de Meggitt à Fribourg développe et fabrique entre autres des accéléromètres et capteurs de pression fonctionnant sur des plages de températures allant à plus de 700 °C. Les accéléromètres mesurent les niveaux vibratoires alors que les capteurs de pression mesurent les variations de pression dynamique dans la chambre de combustion. Cette mesure de pression est très importante pour les nouvelles générations de chambre de combustion qui sont déterminantes pour l’efficience de la turbine ou du moteur et la diminution des émissions.
En termes de capteurs et unités électroniques, quelle différence y a-t-il entre les turbines utilisées pour propulser les avions commerciaux et celles utilisées au sol pour la génération de puissance ?
Bien que les environnements (vibration, pression, température, vitesse de rotation,..) soient différents selon le type de turbines, les capteurs et les technologies sous-jacentes à ces capteurs sont assez similaires. La différence fondamentale est évidemment la contrainte de poids : chaque gramme en plus en vol est un gramme de trop. Cela impose des contraintes de design supplémentaires pour tout équipement embarqué sur un avion.
Le site actuel de Meggitt en Suisse dans la région de Fribourg trouve son origine dans l’entreprise Vibro-Meter fondée en 1952. La société emploie environ 500 collaborateurs. Quelle est l’importance de l’ancrage régional ?
Nous avons la chance de nous trouver à Fribourg, c’est-à-dire à la limite entre la partie francophone et alémanique de la Suisse. Ceci en soi est un atout. De manière plus générale, nous bénéficions en Suisse d’un environnement excellent en termes de qualité de la formation, recherche et innovation. Ceci en fait un emplacement de choix pour un site à haute valeur ajoutée d’un groupe international.
Le développement de capteurs et unités électroniques requiert un savoir-faire technique important et spécifique. Comment trouvez-vous de nouveaux ingénieurs de développement ?
En premier lieu, nous soignons nos réseaux avec les partenaires académiques suisses, qu’il s’agisse des Hautes Ecoles Spécialisées ou des Ecoles Polytechniques Fédérales. Par exemple, certains de nos ingénieurs expérimentés et managers agissent en tant qu’experts lors de travail de diplôme ou mentors. Nous sommes également présents sur les grands salons de recrutement de certaines écoles. Nous bénéficions en Suisse d’un réseau d’excellentes écoles, certaines de calibre mondial.
Vous concentrez-vous uniquement sur la Suisse ?
Nous sommes actifs au niveau international afin d’attirer les meilleurs talents. Meggitt a mis sur pied depuis de nombreuses années un programme Graduate international. De jeunes ingénieurs issus des meilleures écoles sont sélectionnés et effectuent quatre rotations de neuf mois dans les différents sites de Meggitt à travers le monde. Les candidats finissant ce programme continuent fréquemment leur carrière en tant qu’ingénieurs de développement chez Meggitt.
Comment assurez-vous la conservation du savoir-faire dans l’entreprise depuis sa création ?
Nous avons la chance de pouvoir compter sur de nombreux collaborateurs passionnés par les marchés sur lesquels nous sommes actifs et les produits que nous développons. Ceci contribue à la fidélisation de nos employés. De plus, les produits destinés aux marchés de l’aérospatial et de la génération de puissance doivent satisfaire à des exigences très élevées au niveau sécurité et fiabilité. Ceci impose entre autres une excellente traçabilité de nos procédés de développements et fabrications.
Et le futur ?
Le savoir-faire que l’entreprise a créé durant des décennies reste absolument pertinent, en particulier le savoir-faire lié au développement de produits opérant dans des environnements extrêmes. Le futur ? Il est déjà bien présent. Il s’agit par exemple de développer des solutions innovantes et fiables dans des environnements extrêmes avec des technologies (wireless sensing, optical sensing, additive layer manufacturing) déjà éprouvées dans d’autres domaines moins contraignants en termes de température et de vibration. Nous intégrons également dans nos produits les nouvelles exigences de cybersecurity et continuons sur le chemin de la digitalisation en cours sur nos différents marchés.
Digital Twin, die digitale Repräsentation eines physischen Assets – so what?
Die Daten werden über die Wertschöpfungskette hinweg nutzbar gemacht, um mittels Technologien rund um Internet of Things (IoT), Cloud und künstliche Intelligenz (KI) bessere Produkte und Services zu entwickeln und Innovation voranzutreiben.
Digital Twin: Maschinen erzählen ihre Geschichte
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Die Idee des Digital Twin ist die digitale Darstellung eines physischen Objekts – ein IoT Device ist demnach ein Kandidat für einen solchen Digital Twin.
Ein digitaler Zwilling bietet also die Möglichkeit der virtuellen Repräsentation eines IoT-Geräts inklusive seines dynamischen Verhaltens im Betrieb über den gesamten Lebenszyklus hinweg.
Unter richtiger Anwendung können via einen Digital Twin neue Erkenntnisse über die Leistung und das Verhalten der Geräte unter verschiedenen Feldbedingungen gewonnen werden.
Raus aus den Silos!
Digitale Zwillinge und IoT gehen Hand in Hand. Sie helfen, hochwertige Qualitätsprodukte so effizient wie möglich herzustellen und auf den Kunden abzustimmen. Denn durch die gegenseitige Zurverfügungstellung von wertvollen Informationen aus Forschung und Entwicklung, Fabrikation und Aftermarket-Service führt ein Digital Twin zum Aufbrechen von organisatorischen Silos. Und ermöglicht letztlich eine holistische Sicht auf den Betrieb und den Zustand der Geräte – auch firmenübergreifend.
Liebling der Ingenieure
Die besten Digital Twins ahmen den physischen Zustand ihres realen Gegenstücks nach. Das bedeutet, dass es möglich sein kann, Simulationen auf dem digitalen Zwilling des Assets durchzuführen.
Dies eröffnet Möglichkeiten für «What if»-Analysen, bei denen der digitale Zwilling virtuell auch extremen Belastungen wie zum Beispiel hohen Temperaturen ausgesetzt wird.
Die daraus gewonnenen Erkenntnisse liefern wertvollen Input für die Entwicklung neuer, besserer Geräte, verbunden mit Empfehlungen für optimale Wartungspläne. Damit wird im Betrieb die beste Verfügbarkeit, Leistung und Qualität erreicht (OEE).
Datenlieferant für künstliche Intelligenz (KI)
Ein Digital Twin lernt nicht einfach von sich aus. Dafür muss der digitale Zwilling mit KI-Methoden wie zum Beispiel Machine Learning (ML) kombiniert werden. So kann die Fülle der Daten, die den Digital Twin ausmachen, interpretiert und daraus gelernt werden. Ein Digital Twin stellt die notwendige Datenbasis für die Entwicklung der ML-Modelle zur Verfügung.
Ein Enabler der digitalen Transformation
Digital Twins ermöglichen die Gewinnung von Erkenntnissen darüber, wie sich derselbe Gerätetyp während seines gesamten Lebenszyklus unter unterschiedlichen Betriebsbedingungen bei Kunden tatsächlich verhält. Das sind wertvolle Rückmeldungen an Forschung und Entwicklung sowie Manufacturing, um bessere Produkte anzubieten und sich im Markt einen Wettbewerbsvorteil zu erarbeiten. Darüber hinaus wird eine wichtige Grundlage zur Entwicklung von innovativen, datenbasierten Dienstleistungen bis hin zu neuen, ergebnisorientierten Geschäftsmodellen geschaffen.
Text: René Stäbler, IBM
Fotos: IBM
Mehr als Cloud Access Security Broker (CASB)
Bei einem Cloud-basierten Arbeitsplatz spielt es keine Rolle, wo man arbeitet: im Büro, im Café oder am Strand – Applikationen oder Websites lassen sich unabhängig von den Standards des Unternehmens nutzen. Doch hier beginnt auch die Shadow-IT.
Und genau da liegt das Problem. Cloud, Shadow-IT und Unternehmensgrenzen stellen neue Herausforderungen an Netzwerk und Sicherheit. Nicht genehmigte Geräte und ungehinderter Zugang zu Applikationen haben die Sicherheitsgefahren kometenhaft ansteigen lassen: Mitarbeitende, die ihren Computer unbeaufsichtigt lassen, während sie im Café arbeiten; heruntergeladene Filme und Dateien, die mit Malware behaftet sind; Phishing-Attacken und Drive-by-Angriffe, über die sich Nutzerinnen und Nutzer an unerwarteten Orten Malware einfangen. Es braucht nur einen Klick auf den falschen Link, und das gesamte Netzwerk ist mit Ransomware oder Schadprogrammen infiziert, die Kundendaten kompromittieren.
Gefragt ist ein Cloud Access Security Broker (CASB). Aber nicht nur. Benötigt wird ein Service mit umfassendem Schutz. Dieser soll von Sicherheitsexperten gemanagt und gewartet werden, die sich gleichzeitig auch um die Integration der Sicherheitsarchitektur kümmern. Eine solche Lösung ist umfassend und bringt alle Bedrohungen aus dem Internet «auf den Radar». Sie verfügt über eine Managementebene, mit der man die Konfiguration, die Integration und die Event-Analyse bearbeiten kann, und übernimmt im Speziellen folgende Aufgaben:
● Einfache Datenaufnahme vom Web Proxy: Jemand muss den Import aller Sicherheitslogs in den CASB vornehmen.
● Entschlüsselung des SSL-Verkehrs: Der Zugriff auf alle Logs allein genügt nicht. Es braucht eine HTTPS-Entschlüsselung, um einen Einblick in den SSL-Verkehr zu erhalten.
● Transparenz über User-Aktivitäten: Der CASB deckt auf, was die Nutzer aus dem Netz fischen, beispielsweise unerwünschte Dropbox-Konten oder andere nicht freigegebene Tools. APIs überwachen SharePoint und OneDrive und suchen nach Daten, die nicht dort sein sollten, wie etwa Kreditkartennummern und persönliche ID-Informationen oder Unternehmensdokumente, die öffentlich geteilt werden.
● Regelfilter: Der CASB sollte nach individuell definierten Regeln filtern. Sind vertrauliche Dokumente beispielsweise mit Metadaten versehen, können sie gegen eine unerlaubte Verteilung ausserhalb der Organisation blockiert werden. Möglich macht dies eine DLP-Lösung (Data Leakage Protection), die die Dokumente scannt und nach spezifischen Elementen sucht.
Open Systems ist ein weltweit führender Anbieter einer Secure-SD-WAN-Lösung, die es Unternehmen ermöglicht, flexibel und ohne Kompromisse zu wachsen. Mit integrierter Sicherheit, Automatisierung und Management durch Experten, die wertvolle IT-Ressourcen freisetzen, bietet Open Systems die Transparenz, Flexibilität und Kontrolle, die Sie in Ihrem Netzwerk unbedingt benötigen. Lernen Sie mehr auf open-systems.com.
Text: Stefan Lampart, Head of Customer Success CHRoW, Open Systems
Foto: open-systems.com
Vier Fragen an Christian Franck, ETH
Für viele aktuelle Themen wie die Digitalisierung, autonomes Fahren oder die Energiewende braucht es auch zukünftig Elektroingenieurinnen und -ingenieure. Christian Franck ist Delegierter für Kommunikation am Departement für Informationstechnologie und Elektrotechnik (D-ITET) und ist damit auch für die Koordination von Nachwuchsförderungsmassnahmen am Departement zuständig.
1. Wie ist die Nachwuchsförderung an der ETH organisiert?
Die Nachwuchsförderung ist über die verschiedenen Ebenen der ETH verteilt. Sowohl die zentrale Organisation der ETH als auch die Departemente und deren Institute und Professoren organisieren Projekte. Oft sind es Initiativen einzelner Stellen, und die Organisation läuft deshalb über die Kommunikations-abteilungen der Departemente. So haben wir auch hier am D-ITET ein sehr motiviertes Kommunikationsteam, das sich sehr für die Gewinnung von neuen Studierenden einsetzt.
2. Welche Projekte gibt es konkret?
Die Student Services der ETH Zürich informieren über das gesamte Angebot an Studiengängen und koordinieren die Roadshow «ETH unterwegs» für die Gymnasien. Die Departemente wiederum organisieren Studienwochen, Schnuppertage, Schulbesuche im Rahmen der Technikwochen und die Präsentation der Studiengänge an den alljährlich durchgeführten Studieninformationstagen. Anlässe wie die Studienwochen oder der Treffpunkt Science City, der im Frühling und im Herbst jeweils 10 000 Kinder, Jugendliche und Erwachsene anlockt, werden von den Instituten mit spannenden Projekten aus der Forschung versorgt. Das Interesse ist so gross, dass die Workshops oft innert kürzester Zeit ausgebucht sind. Noch grösser ist die Wissenschaftsmesse Scientifica, die alle zwei Jahre in Zusammenarbeit mit der Universität Zürich stattfindet, dieses Jahr im August zum Thema «Science Fiction – Science Facts».
«Elektrotechnik ist die Schlüsseltechnologie
in den allermeisten Boombereichen.»
3. Wie entwickelt sich die Zahl der Studienanfänger? Bewährt sich die Nachwuchsförderung?
Das ist natürlich schwer zu sagen, aber generell ist in den letzten Jahren das Interesse an den Ingenieurwissenschaften gestiegen. Vor zehn Jahren gab es eine Welle bei den Maschinenbauingenieuren, deren Studierendenzahlen seitdem stark angestiegen sind. In den letzten Jahren hat auch die Zahl der Anfänger in der Informatik deutlich zugenommen. Auch bei uns in der Elektrotechnik steigen die Zahlen, aber nicht ganz so stark.
4. Woran liegt das?
Ich denke, dass viele mit den Begriffen Elektrotechnik und Informationstechnologie nichts Konkretes verbinden können. Dabei ist die Elektrotechnik die Schlüsseltechnologie in den allermeisten Boombereichen: von der Digitalisierung und Industrie 4.0 über die Energiewende und autonomes Fahren bis zu Machine Learning und personalisierter Medizin. Wir am Departement forschen zu diesen Themen und lassen die Inhalte direkt in die Vorlesungen einfliessen. Um dies breiter bekannt zu machen, kommunizieren wir jetzt verstärkt auch über diese Key Topics und laden Schulklassen dazu ein, bei uns Neues aus der Forschung zu diesen Bereichen kennenzulernen und zu erleben.
Powerfrau mit Organisationstalent
Rahel Macina Jost arbeitet als Gesamtprojektleiterin bei SBB Infrastruktur. Ihr Interesse an der Mathematik führte sie zum Bauingenieurwesen: «Ich fand das Fach immer spannend, obwohl ich nicht herausragend gut darin war. Ich habe mir sogar überlegt, Mathematik zu studieren, nur wusste ich nie genau, was ich damit erschaffen könnte. Und genau das war mir wichtig: etwas erschaffen zu können.»

Nach dem erfolgreich abgeschlossenen Studium an der ETH war Rahel Macina Jost zuerst zwei Jahre in einem Ingenieurbüro für Hochbau tätig, anschliessend übernahm sie eine Stelle als Unterrichtsassistentin im Studiengang Architektur an der ETH: «Auch für Architekten ist es wichtig, dass sie gewisse Kenntnisse vom Bauingenieurwesen haben. Obwohl in der Architektur mehr das Gestalterische im Fokus steht, sind mathematisch-technische Fragestellungen beim Bauen zentral.»
2006 wechselte Rahel Macina Jost zu den SBB und arbeitete am Projekt «Durchmesserlinie». Nach einem kurzen Unterbruch, der sie zum Tiefbauamt des Kantons Zürich führte, ist sie heute wieder bei den SBB tätig.
Ihren Job macht sie mit viel Engagement und Enthusiasmus. Von Meeting zu Meeting mit dem Laptop unterwegs, schätzt sie vor allem den Gesamtüberblick, den sie in ihrer Position hat: «Ich habe mich nie als Spezialistin gesehen, ich habe gerne den breiten Überblick. Die Komplexität der Projekte gefällt mir, die Möglichkeit, alles zu koordinieren und zu organisieren, ist spannend. Meine Arbeit ist vielseitig und abwechslungsreich.»
Organisation ist auch wichtig, wenn man Familienleben und Arbeit in Einklang bringen will. Rahel Macina Jost ist Mutter von zwei Kindern und arbeitet in einem 60%-Pensum. Ist das so einfach? «Es braucht schon eine gewisse Organisation, sonst ist das nicht möglich. Wichtig ist auch, dass Arbeitnehmer und Arbeitgeber an einem Strang ziehen, es braucht ein Engagement von beiden Seiten. Bei den SBB ist das zum Glück der Fall.» Auch sonst ist Rahel Macina Jost mit ihrer Stelle zufrieden: «Ich mag die Führungs- und Vertrauenskultur bei den SBB. Es ist ein Unternehmen mit einer grossen Präsenz in der Öffentlichkeit, und es gibt sehr viele verschiedene Bereiche, in denen man arbeiten kann.»
«Ich glaube, das Berufsbild muss bekannter gemacht werden, viele wissen gar nicht, was ein Ingenieur, eine Ingenieurin tut.»
Die Baubranche ist männerdominiert, Rahel Macina Jost eine der wenigen Frauen im Ingenieurberuf. Was könnte man tun, damit sich mehr Frauen für diesen Beruf interessieren? «Ich glaube, das Berufsbild muss bekannter gemacht werden, viele wissen gar nicht, was ein Ingenieur, eine Ingenieurin tut. Interesse kann man nicht erzwingen, aber man kann informieren und auch Mut machen, ein solches Fach zu studieren.»
Rahel Macina Jost ist immer auf Trab. Auch privat. Wenn sie ihre Freizeit nicht gerade mit der Familie verbringt, dann steht Sport auf dem Programm: «Schwimmen, Yoga, Velofahren und im Winter zusätzlich Skifahren.» Eine richtige Powerfrau eben.
Text: Myriam Hofmann
Foto: Franziska Martin Fotografie